Actuellement dans la boutique Gauloises, Cgb.fr offre un statère unique qui sert d’illustration à l’ouvrage de Louis-Pol Delestrée et Marcel Tache, Nouvel Atlas des monnaies gauloises, I de la Seine au Rhin, éditions Commios, Saint-Germain-en-Laye, 2002, p. 34, série 05, nommé « au monstre griffu », DT 29, pl. II. Cette série et ce numéro unique sont attribués à une zone géographique située entre le littoral et la vallée de l’Oise, correspondant à une partie de la Picardie et aux actuels départements de la Seine-Maritime de la Somme et de l’Oise.
Ce type « au monstre griffu » est l’unique exemplaire de la série 05 dont le monstre du revers n’est pas sans évoquer les monstres de la mythologie gréco-romaine réinterprétés par le génie celtique. En l’occurrence, il pourrait faire penser au griffon par exemple. En fait le sujet du revers présente des similitudes avec le loup-lion, mangeur de soleil, inspiré d’une monnaie grecque de Milet (Ionie, Turquie actuelle) d’après les auteurs. Ce type se retrouve sur l’hémistatère LT 6926 = DT II 2067-2068, pl. III, que les auteurs rattachent aux séries nord-armoricaines de la première phase (millieu ou fin du IIIe siècle avant J.-C. (série 245, type au monstre mangeur de soleil, hémistatère et quart de statère, DT 2069).
Cependant, nous voudrions attirer l’attention du lecteur sur plusieurs points, qui pourraient nous amener à modifier, sinon le classement, du moins la chronologie de cet unicum. En effet, la pièce semble en or pâle (électrum). Sur les planches du DT, la couleur semble beaucoup plus jaune. Le poids de l’exemplaire, 5,98 g, semble léger pour un statère de la fin du IIIe siècle ou le début du IIe siècle avant J.-C. Parmi l’ensemble du « Nord-Ouest », c’est l’unique statère, les pièces des DT 1 à 28 ne sont constituées que d’hémistatères et de quarts de statèresstatères. Si on devait les comparer à un statère, la masse de cette dénomination serait comprise entre 7 et 8 grammes, soit une valeur éloignée du poids de notre exemplaire. Si iconographiquement notre exemplaire peut être rapproché de ce groupe, il ne s’intègre ni par son poids ni par son aspect à cette série. Le style de la pièce est très particulier et pourrait faire penser au griffon des monnaies de Téos ou d’Abdère, sans oublier des monnaies anonymes d’Asie Mineure des VIe et Ve siècles avant J.-C. Seule la découverte de nouveaux exemplaires du même type, ou de divisionnaires pour la même série, pourra permettre de confirmer ou d’infirmer l’attribution et la chronologie de ce statère si rare et si particulier.
INCERTAINES DU NORD-OUEST
Statère « au monstre griffu », IIIe siècle ou début du IIe siècle avant J.-C.
(Or, 5,98 g, 17 mm, 1 h)
A/ Anépigraphe
Profil à droite, mèches en forme de crosses dont les boucles sont centrées d’un point.
R/ Anépigraphe
Monstre composite à la tête de loup et au corps de lion, à la gueule ouverte d’où jaillit une langue courbe ; la longue queue perlée est redressée vers la tête ; cercles centrés de globules dans le champ.
DT 29 série 5
Monnaie exceptionnelle ! Elle est bien centrée avec une très jolie tête au droit et un revers intéressant et bien détaillé.
Unique. TTB 8 250€
Cet exemplaire reste pour le moment unique. Il a servi à illustrer le Tome 1 du Nouvel Atlas des monnaies Gauloises par Louis-Pol Delestrée et Marcel Tache, p. 34, n° 29, pl. II.Sous coque NGC Ch XF (Strike 4/5, Surface 4/5).Avec son certificat d’exportation n° 225391 délivré par le ministère français de la Culture.
L’exemplaire était signalé par les auteurs du Nouvel Atlas comme provenant d’une collection privée du nord-ouest d’Amiens, sans précision. Cet exemplaire unique toujours d’après les mêmes auteurs ne permet pas de situer l’origine de l’émission. Mais en revanche, il suscite notre intérêt et notre curiosité.
Un brillant hommage, mille fois mérité, rendu aux éminents numismates historiques de Provence par leur héritier d’aujourd’hui. Ainsi pourrait-on résumer l’ouvrage magistral que nous livre le professeur Jean-Louis Charlet, l’un des plus grands latinistes du monde, sinon le meilleur, par ailleurs lui-même éminent numismate familier des monnaies depuis près de 70 ans et Aixois depuis 55 ans après être né dans l’agglomération toulonnaise il y a 80 ans.
Dans la France hexagonale, je laisse de côté l’île de Corse si spécifique, la Provence et la Narbonnaise sont des lieux bénis de l’archéologie et de la numismatique, cette dernière étant intrinsèquement liée à la première, en sa qualité de « science auxiliaire de l’histoire ». Toute cette bordure territoriale de la Méditerranée est riche en somptueux monuments et vestiges de ce que fut la civilisation gréco-latine, sans oublier les peuples antérieurs de la Gaule dont la trace subsiste en des lieux tels que les oppida d’Ensérune et d’Entremont ou les Moneghetti de Monaco. Un tel contexte ne pouvait que favoriser, depuis plusieurs siècles, des vocations de grands archéologues et de remarquables numismates.
C’est à ces derniers, du XVIe siècle à nos jours, que Jean-Louis Charlet a consacré son étude, issue de longues recherches menées pendant des années car son ouvrage n’est pas une simple biographie, encore moins un roman, mais le résultat, fort agréable à lire, d’un véritable savant, détenteur à la fois d’une immense culture et des méthodes de travail, ainsi que de l’écriture, qui sont propres à la recherche scientifique au plus haut niveau.
De ce fait, grâce à la maîtrise de l’auteur, à la profondeur jointe à l’étendue et à la variété de ses connaissances, à la qualité de son style et sa connaissance de la langue française1, c’est à une véritable résurrection que l’on assiste des personnages qu’il fait revivre en mettant en lumière tout ce qu’ils ont apporté à la numismatique.
Car l’une des qualités majeures de l’ouvrage de J.-L. Charlet c’est de nous tenir en haleine en nous contant l’histoire passionnante de ces numismates disparus en ayant l’art de mêler, quand il le faut, l’anecdote complémentaire de ce que l’on appelle quelquefois la « grande histoire ». Un jour que j’avais complimenté un numismate en le qualifiant « d’André Castelot de la numismatique », il m’avait rétorqué furieusement « tu pourrais dire au moins Alain Decaux », ce qui annonçait sa mégalomanie. Eh bien, en lisant J. L. Charlet, j’ai réellement l’impression de me trouver en présence d’un Alain Decaux de la numismatique, même si ce dernier n’était pas agrégé de lettres mais d’histoire et académicien français, J.-L. Charlet étant académicien belge à titre étranger.
À toutes les pages, à toutes les lignes, son ouvrage fourmille d’informations inédites, enrichies de plusieurs centaines de notes (avec le compteur remis à zéro à chaque nouveau chapitre, fruit d’une colossale recherche dans les archives et d’une lecture non moins énorme d’un nombre impressionnant d’ouvrages en tous genres. L’auteur indique que son livre est une Esquisse d’une histoire de la numismatique provençale (XVIe-XXe siècles) : il est trop modeste, il s’agit d’une véritable somme qui nous apprend ce que furent ces éminents numismates, beaucoup trop méconnus jusqu’à présent, certains étant même restés inconnus. Mais cet oubli est désormais réparé : grâce à J.-L. Charlet nous savons maintenant ce qu’ils furent et ce que nous leur devons.
Voilà bien une raison majeure pour laquelle tout numismate soucieux de connaître l’héritage que nos prédécesseurs nous ont laissé se doit de lire ce livre capital et de s’en pénétrer. Je me réjouis particulièrement que la Maison Cgb.fr fasse partie des entreprises de librairie qui en assurent la diffusion, comme elle le fait pour nombre d’ouvrages numismatiques lorsqu’ils apparaissent sur le marché, fidèle à sa vocation voulue par son fondateur le regretté Michel Prieur, également grand numismate.
Après une introduction de grande qualité dans laquelle l’auteur explique ses choix et sa méthode de travail, remerciant les archives et les bibliothèques provençales qui l’ont accueilli (il est administrateur de plusieurs d’entre elles), l’ouvrage retrace la vie des éminents numismates provençaux depuis le XVIe siècle jusqu’à nos jours, le dernier étant Me Pierre-Carlo Vian décédé en 1975, il y a 50 ans. On pourrait y ajouter un septième chapitre avec leurs successeurs actuels, notamment Jean-Louis Charlet, Jean-Albert Chevillon et d’autres. Nous y retrouvons des noms fort connus comme Rascas de Bagarris, Fabri de Peiresc, Calvet qui donna son nom au prestigieux musée d’Avignon, Joseph Laugier dont le nom est inséparable du Cabinet des médailles de Marseille, Georges de Manteyer et plus près de nous Henri Rolland représenté encore aujourd’hui auprès de nous par sa petite-nièce. Claude Brenot. Mais nous découvrons aussi le rôle de grands numismates comme Esprit Requien, le marquis de Lagoy, Adolphe Carpentin, le comte de Castellane, Maurice Raimbault, Vallentin du Cheylard, etc., dont le nom figure dans la Revue numismatique ou les auteurs du XIXe siècle comme Jean-Henri Hoffmann. Grâce à J.-L. Charlet qui nous les fait revivre, ils sont aujourd’hui pour nous autre chose que des citations littéraires.
Ainsi, ce sont 20 grands numismates provençaux qui sont ressuscités par la volonté et le talent de leur réanimateur. Qu’il en soit loué car, à travers la revivification de ces lointains personnages, c’est toute l’histoire de la numismatique en Provence depuis cinq siècles qui nous est contée. Pas si lointains pour ce qui est d’Henri Rolland et surtout de Me Vian, fondateur du Groupe numismatique du Comtat et de Provence qu’anime avec bonheur son successeur Jean-Albert Chevillon, Me Vian ayant été par ailleurs l’un des fondateurs de la SENA qui a fêté récemment son 60e anniversaire.
Après les 6 chapitres consacrés aux 20 grands numismates provençaux et une conclusion synthétique écrite naturellement à Aix-en-Provence, l’ouvrage est enrichi de riches annexes (40 pages de documents d’archives) et d’une excellente bibliographie.
L’intérêt porté à la numismatique par les 20 numismates ressuscités par J.-L. Charlet n’a pas été vain. La vitalité de la numismatique en Provence l’atteste. Les excellentes publications telles que les Annales du Groupe numismatique du Comtat et de Provence (J.-A. Chevillon), les Annales du Groupe numismatique de Provence (J.-L. Charlet), les Carnets numismatiques de Nice (Y. Brugière) et Provence numismatique sont là pour en témoigner. De même, le remarquable Cabinet des médailles de Marseille, longtemps animé par l’excellente Joëlle Bouvry-Pournot, aujourd’hui en retraite.
Alors souhaitons longue vie au professeur J.-L. Charlet puisqu’il fête ses 80 ans, afin qu’il nous donne encore d’autres ouvrages de la qualité de celui-ci que je recommande vivement à tous nos lecteurs du Bulletin numismatique.
N. B. Un mot sur l’auteur. Professeur agrégé de lettres classiques à 23 ans (1968), assistant puis professeur à l’Université de Provence depuis 1970, Docteur ès lettres (1978), professeur titulaire de la chaire de latin médiéval et moderne jusqu’à sa retraite, ancien président de l’association mondiale des professeurs de latin, membre de l’Académie de Belgique, il vient de quitter la présidence de l’ONG universitaire fondée par le Prix Nobel de la Paix René Cassin. Parmi ses anciens élèves il faut signaler Laurence Bobis, chartiste, ancienne conservatrice au Cabinet des Médailles, François Ploton-Nicollet professeur à l’Ecole des Chartes, Dorian Bocciarelli, professeur agrégé, numismate, Elena Rossoni-Noter, directrice du musée d’Anthropologie préhistorique à Monaco. Membre de la Commission des collections (timbres et monnaies) du prince de Monaco et du Comité de gestion du musée des Timbres et des Monnaies de Monaco (MTM). J.-L. Charlet a été le commissaire général de l’exposition numismatique organisée dans ce musée en 2023 et il se dit qu’il préparerait une nouvelle exposition dans ce musée pour l’année prochaine : à confirmer.
1 Il est agrégé de lettres comme Fabius, Juppé, Bayrou, etc. ; et de surcroît docteur ès lettres, ce qu’ils ne sont pas.
Nous vous proposons pour cette semaine un ensemble de billets étrangers. N'hésitez pas à parcourir cette sélection pour découvrir peut-être le billet manquant à votre collection.
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Nous tenons à remercier chaleureusement les participants à notre vente Live Auction Septembre 2025 et sommes heureux de vous présenter ci-dessous un aperçu des résultats obtenus par certains lots marquants de celle-ci.
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Prix final (frais acheteurs inclus) : 30 680,00 €
Pour ceux qui n'ont pu participer lors de la phase Live mardi 23 septembre 2025, une seconde opportunité s'offre à vous via la période des Invendus. 200 lots restés invendus sont encore disponibles au prix de départ (+18% de frais acheteurs) jusqu'au dimanche 5 octobre 2025.
À noter dès à présent les dates de nos ventes à venir :
Internet Auction Monnaies Octobre 2025 - Clôture Live mardi 21 octobre 2025 à partir de 14h00
Internet Auction Monnaies Novembre 2025 - Date de clôture des dépôts le 21 octobre 2025
Dimanche 5 octobre 2025, ANRD (Association Numismatique de la Région Dauphinoise) organise sa traditionnelle bourse numismatique (la 48e !) à l'hôtel Europole (29 rue Pierre Semard à Grenoble).
Pauline Brillant et Arnaud Clairand vous y retrouveront sur le stand de CGB Numismatique Paris. Ils se tiendront à votre disposition pour échanger et prendre en dépôt monnaies, médailles, billets pour mise en vente sur www.cgb.fr.
Le calendrier complet des ventes Monnaies et Papier-Monnaie de CGB Numismatique Paris (dates de clôture des dépôts et de vente) est consultable en ligne : calendrier Internet et Live Auction
LE QUART D’ÉCU AUX HUIT L, 2E TYPE, DE LOUIS XIV
FRAPPÉ SUR FLAN RÉFORMÉ EN 1705 À TOULOUSE (M)
Monsieur Christian Fouet nous a gentiment adressé la photographie d’un quart d’écu aux huit L, 2e type, de Louis XIV frappé sur flan réformé en 1705 à Toulouse (M). Nous avions retrouvé l’écu, le demi et le douzième, mais pas le quart d’écu (n° 33 185, p. 607). Le chiffre de frappe globale de ces espèces d’argent réformées en 1705 à Toulouse est de 265 847 écus mais les productions détaillées ne sont pas connues, le registre des délivrances n’étant pas conservé. Le 5 du millésime est nettement regravé sur un 4.
Cgb.fr vous présente sa nouvelle E-auction, avec des prix de départ à 1 euro, pas de prix de réserve et pas de frais acheteurs. Le collectionneur décide du prix de la monnaie !
La charge de travail qu’impose le niveau de qualité et de services que nous souhaitons offrir aux collectionneurs étant sans cesse croissante, l’équipe s’enrichit d’une nouvelle numismate professionnelle, Alina Barbu. Elle se présente à nos lecteurs :
Diplômée d’une licence d’Histoire de l’art à l’Université Paris IV, j’ai toujours eu une attirance particulière pour les « petits objets » en histoire de l’art, ces œuvres qui condensent à la fois technicité, esthétique et charge symbolique. Souhaitant approfondir ma réflexion et mes connaissances sur la transmission et la valorisation du patrimoine, j’ai poursuivi mes études avec un Master « Musées et Patrimoine » à l’Université Paris Nanterre.
Ce parcours m’a donné l’opportunité d’effectuer deux stages successifs chez CGB : d’abord en mai 2023, dans le cadre de mon Master 1, puis en stage de fin d’études pour mon Master 2. J’ai eu la chance d’intégrer le département des médailles sous la direction d’Alice Juillard. Ces expériences m’ont permis de me familiariser avec l’art de la médaille, d’en comprendre les spécificités et d’apprécier ses différences et proximités avec la monnaie. Ce travail quotidien a su nourrir un véritable plaisir et une passion pour cet objet patrimonial.
En parallèle, j’ai consacré mon mémoire de Master 2 à l’étude du rôle des maisons de ventes dans la diffusion du patrimoine numismatique. Cette recherche m’a ainsi permis de me formaliser également avec l’univers marchand et ses acteurs.
Aujourd’hui, en intégrant pleinement l’équipe, je souhaite mettre à profit cette double expérience universitaire et professionnelle. Mon ambition est de participer au développement de la boutique des médailles, afin de la rendre toujours plus attractive et reconnue. Je souhaite contribuer à en faire un espace de référence, qui conjugue rigueur scientifique, dynamisme commercial et mise en valeur patrimoniale. Portée par une motivation née de mon parcours académique et nourrie par mes stages, je suis convaincue que la médaille a une place à part entière au sein de la numismatique, et je me réjouis de participer activement à son développement auprès de la CGB.
Alina sera immédiatement affectée au département des médailles en collaboration avec Alice Juillard.
Il vous reste encore quelques heures pour miser ou augmenter votre offre maximum avant la fin de notre E-auction 650 - à partir de 14h00, un article sera attribué au dernier gagnant toutes les 20 secondes.
E-auction 650 ce sont des centaines de monnaies, jetons et billets. C'est vous qui décidez du prix !
LE QUART D’ÉCU DE NAVARRE DE LOUIS XIII
FRAPPÉ EN 1612 À SAINT-PALAIS
Monsieur Gotzon Osinalde nous a aimablement signalé un quart d’écu de Navarre de Louis XIII frappé en 1612 à Saint-Palais présentant un F, différent du maître Jean Dufour. Le huitième d’écu était connu avec ce différent, mais le quart d’écu n’avait pas été retrouvé et est donc absent de l’ouvrage Monnaies royales françaises et de la Révolution (1610-1794), n° 32 130, p. 129.
Vous pourrez retrouver une étude détaillé sur les monnaies de Navarre sur le blog suivant :
https://www.monakotik.com/2022/10/07/luis-ii-aren-zilarrezko-ezkutuak/
La BOUTIQUE MODERNESde Cgb.frvous propose cette semaine une sélection de 150 monnaies modernes françaises comprenant entre autre 19 pièces en or ainsi que 74 en argent :
57 autres monnaies complètent cette sélection :
La BOUTIQUE MODERNES, c'est aussi un choix de plus de 11 000 monnaies et, chaque semaine, une sélection de 150 monnaies minimum dans nos e-Auctions au prix de départ 1 euro.
Bonne(s) trouvaille(s) !
Une question ? Des monnaies à vendre ? Une collection à faire estimer ? N'hésitez pas à prendre contact en nous écrivant à l'adresse laurent.voitel@cgb.fr (pour les monnaies modernes françaises, de 1795 à 2001). Nous sommes également à votre écoute directement par téléphone au 01.42.33.86.89.
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